Les Chiens de la pluie

Paraná, en Argentine, lors d’une longue nuit pluvieuse. Juan et Juan, tueurs à gages et amants, attendent en vain leur cible. Elisa danse dans sa robe rouge pendant que la fête bat son plein autour d’elle. Ángel joue de la batterie comme si c’était la seule chose qui le retenait dans ce monde. Manuel et son frère Vicente cherchent un chien perdu. Baltasar doit s’enfuir, mais la ville ne le laissera pas partir. Veracruz veut mettre fin à son exil, mais la ville ne le laissera pas revenir.

Alors que la pluie torrentielle provoque embouteillages monstres et glissements de terrain, ces personnages se cherchent, se croisent, révèlent peu à peu ce qui les relie. Les Chiens de la pluie est un roman choral, urbain, dans lequel le montage est la clef. Un de ces livres rares qui illuminent avec l’intermittence d’un orage électrique la véritable essence de la solitude.

 

« Dans Chiens de la pluie, Romero raconte des rendez-vous manqués avec subtilité et minutie, loin de toute emphase. » La Nación

  • Traduction : Maïra Muchnik   
  • Langue d'origine : espagnol (Argentine)
  • Collection : Fictions (Littérature étrangère)
  • ISBN : 978-2-36533-116-6
  • Date de parution : 8 septembre 2022
  • 320 pages, 22 €

La playlist :

Ils en parlent :

  • « "Romero crée une superbe galerie de misfits, attachants et romantiques, et nous fait visiter une ville mystérieuse. Il écrit comme on filme. Un roman-film envoûtant." » Alain Marciano, Benzine magazine.
  • « "Un roman d'ambiance. Ne jamais y chercher d'explication, se laisser entraîner sous la pluie et avec la bande son... " » Delphine Munch, Kléber, Strasbourg.
  • « "Exhumant avec délicatesse et cruauté nos solitudes modernes, Les chiens de la pluie vous coupe littéralement le souffle par sa noirceur assumée et son ton décalé. Un très grand roman." » Stéphane Capelle, Librairie Compagnie, Paris.
  • « "Roman kaléidoscopique et choral, à la construction cinématographique, l'auteur de Je suis l'hiver (son précédent et envoûtant polar) y ausculte la nature humaine tissant des fils invisibles au coeur de la nuit." » Nicolas, Le Vent délire, Capbreton.
  • « "Un bon roman latino-américain comme on les aime !" » Adrien, Le Tramway, Lyon.