Paris Noir

Guide de voyage alternatif, Paris Noir permet de (re)découvrir la Ville lumière sous la plume de 12 auteurs locaux, chacun livrant une nouvelle noire inédite sur le quartier qu’il a choisi.

Vous découvrirez ainsi :

  • le Quartier latin vu par Salim Bachi
  • Montorgueil vu par Didier Daeninckx
  • Oberkampf vu par DOA
  • la Gare du Nord vue par Jérôme Leroy
  • Belleville vu par Dominique Mainard
  • Daumesnil vu par Laurent Martin
  • les Grands Boulevards vus par Christophe Mercier
  • les Batignolles vues par Patrick Pécherot
  • Ménilmontant vu par Chantal Pelletier
  • le Marais vu par Jean-Bernard Pouy
  • la rue de la Santé vue par Hervé Prudon
  • les Halles vues par Marc Villard

Banlieues parisiennes Noir

La collection « Asphalte Noir » revient en France pour sa nouvelle destination : Banlieues parisiennes Noir.
Comme toujours, des auteurs locaux s’emparent chacun d’un lieu (ici une ville de la banlieue parisienne) et en fait le décor, voire le personnage d’une nouvelle noire inédite. Ce recueil dresse ainsi une cartographie originale d’un territoire mal connu et souvent mal considéré.
C’est le prolongement au-delà du périphérique de notre Paris Noir paru en 2010, qui était le premier volume de la collection.
Avec des textes de Guillaume Balsamo, Timothée Demeillers, Marc Fernandez, Karim Madani, Cloé Mehdi, Patrick Pécherot, Christian Roux, Jean-Pierre Rumeau, Anne-Sylvie Salzman, Insa Sané, Rachid Santaki, Anne Secret, Marc Villard.

Dernière chanson avant la nuit

Les Bitters étaient au sommet de leur gloire quand a soudain disparu leur guitariste vedette, le charismatique Jack Novak, lors d’une tournée. Après avoir quitté son hôtel un soir d’hiver, il n’a plus jamais été revu.
Des années plus tard, David Almodôvar, critique musical portugais respecté, mais aussi un des plus grands fans des Bitters, traverse une crise existentielle. Accusé de plagiat pour un article, il est licencié, et sa femme, doutant de ses sentiments, le quitte du jour au lendemain, le mettant au défi de la retrouver. C’est à ce moment-là qu’il va rencontrer Jack Novak lui-même, qui lui propose de lui révéler l’histoire de sa disparition… Les deux hommes s’embarquent ainsi dans un voyage qui les mène de Londres à Berlin, en passant par les Balkans et le désert marocain.

Malgré tout la nuit tombe

Alina a bientôt trente ans et vit à São Paulo. Doctorante en histoire des religions, elle passe ses journées devant un ordinateur, au vingt et unième étage d’un gratte-ciel, prisonnière d’un boulot alimentaire dans la publicité. Elle peine à surmonter un deuil familial et perd peu à peu sa joie de vivre. Jusqu’au jour où elle est contactée par la police, qui a besoin de ses connaissances pour démasquer une secte soupçonnée d’enlèvements. Et si c’était là l’occasion unique de briser sa routine ? De prendre sa vie en main et de trouver un sens aux questions qui l’assaillent ?

Une journée et une nuit suffiront à ébranler les certitudes d’Alina, et par là même celles de toute une génération anesthésiée par son quotidien. Dans Malgré tout la nuit tombe, Antônio Xerxenesky fait surgir l’irrationnel dans nos existences cartésiennes, éveillant nos angoisses les plus profondes.

Je m’enneige

Vingt-cinq ans et aucune envie de s’engager : le narrateur de Je m’enneige aime cette liberté. Son temps, il le passe avec sa bande de copains dans les cafés de leur petite ville ou dans la forêt alentour, en tout cas loin de chez son père, avec lequel il vit. Son frère jumeau a déménagé il y a quelques années, tandis que leur mère, murée dans le silence, végète dans une clinique, atteinte d’une lourde maladie héréditaire. Jusqu’au jour où elle se met à prononcer un mot, toujours le même : « Varsovie ». Et si elle essayait de dire enfin quelque chose ? Les deux frères embarquent leur mère dans la Volvo familiale, direction la Pologne… ou ailleurs. En fuyant un quotidien entaché par la maladie, que vont-ils trouver ?

Roman subtil sur une famille écartelée par les silences, Je m’enneige est aussi le portrait d’une génération aux antipodes de celle de ses parents dans sa façon d’affronter l’âge adulte.

La Légende de Santiago

Rien ne va plus pour Santiago Quiñones, flic à Santiago du Chili. Sa fiancée Marina ne l’aime plus, ses collègues policiers le méprisent, et il est rongé par la culpabilité depuis qu’il a aidé son beau-père, gravement malade, à mourir.

Aussi, quand il tombe sur le cadavre d’un trafiquant dans un resto chinois, son premier réflexe est d’empocher la demi-livre de cocaïne pure qu’il trouve également sur les lieux. Un coup de pouce bienvenu pour traverser cette mauvaise passe, d’autant qu’on vient de lui confier une enquête sensible sur des meurtres racistes… Mais ce faux pas ne va pas tarder à le rattraper.

Le retour de Santiago Quiñones après Tant de chiens, Grand prix de littérature policière 2016 et Grand prix du roman noir étranger au festival de Beaune 2016.