Dans les règles de l’art (poche)

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Athènes, 2017. Mikhalis Krokos s’apprête à lancer son nouveau livre, mais l’été s’annonce cauchemardesque : la Documenta, l’une des plus grandes expositions internationales d’art contemporain, a envahi la ville. Cerise sur le gâteau, son amie Kris se retrouve impliquée dans le vol d’un tableau, et son vieux camarade Harry, roi des mondanités, ne semble pas étranger à l’affaire. Krokos n’aura pas d’autre choix que partir en quête d’une croûte supposée sans valeur, entre ruelles surchauffées d’Athènes et villas chics d’Hydra, sans savoir que la situation va bien vite le dépasser. Sous une épaisse couche de peinture, ce sont les dessous les plus sombres du monde de l’art qui se dévoilent…

Dans les règles de l’art est un polar au rythme effréné, où l’on saute dans des taxis, pousse les portes des bars de nuit, va de performances en happenings toujours plus décalés. Jusqu’au bad trip final.

Un autre été grec

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L’écrivain Mikhalis Krokos revient à Athènes, en plein été caniculaire, pour faire publier son nouveau roman. Plongé dans une mauvaise passe, il accepte une proposition en or : aller passer quelques jours sur l’île d’Ikaria, dans la superbe villa d’un ami, surplombant la célèbre plage de Messakti. Il y trouve une paire de jumelles sophistiquée, qui lui permet d’observer de loin toutes les tribus de l’été grec : surfeurs, hippies, influenceurs, habitués du beach-bar, beautés fatales… jusqu’au moment où il assiste, impuissant, à un drame. À la recherche d’une explication, Krokos découvrira bientôt que sa présence à Ikaria ne doit rien au hasard.

Dans Un autre été grec, Makis Malafékas livre un polar fiévreux entre Fenêtre sur cour de Hitchcock et Body Double de De Palma, dans un décor de plage paradisiaque.

Demain la brume (poche)

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1990, Nevers. Katia, lycéenne rebelle, étouffe au bord de la Loire et rêve d’indépendance. Elle tombe follement amoureuse de Pierre-Yves, libre et anticonformiste comme elle aimerait l’être. Mais la soif d’absolu du jeune homme va bien plus loin que la sienne…

1990, Zagreb. Damir et Jimmy jouent dans un groupe de rock. Leur tube « Fuck you Yu » finit par devenir, contre la volonté de Damir, un hymne à l’éclatement de la Yougoslavie.

1990, Vukovar. Dans cette ville pluriculturelle, personne n’est censé savoir qui est serbe et qui est croate. Pour Nada, c’est un mensonge. Et chacun sait très bien quel est son camp.

 

Dans Demain la brume, Timothée Demeillers met en scène des destins malmenés par l’histoire, dans une Europe où les frontières se renforcent au lieu de s’effacer.

 

Prix Hors Concours. Prix des lecteurs de la librairie Privat.

 « Avec un remarquable sens du détail et du rythme, Demeillers signe un roman aussi glaçant qu’émouvant. » Christian Authier, Le Figaro

 

Le Tumulte et l’Oubli

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« Cette terre n’est que de la terre. Ça n’a jamais appartenu à personne, ou seulement à ceux qui tenaient les fusils. »

 

1938 : Hitler annexe les Sudètes, et la ville de Jedlov, en Bohême, devient Tannberg. Sept ans plus tard, à la fin de la guerre, Tannberg redevient Jedlov. De cette ville fictive, Timothée Demeillers fait l’emblème de cette région du monde, posée sur le rideau de fer, qui reste tout au long de la seconde moitié du xxe siècle le témoin et le théâtre de tous les aléas de l’histoire.

Nous suivons ainsi le destin de deux jeunes femmes : Sieglinde, Allemande amoureuse d’un Tchèque, qui se retrouve confrontée à la haine et au mépris des vainqueurs, mais aussi Ivetka, mariée à quatorze ans, qui va réussir à s’éduquer, à s’émanciper, devenant la première Tsigane à faire des études…

 

Fresque romanesque courant sur plusieurs décennies, Le Tumulte et l’Oubli est inspiré de l’histoire familiale de son auteur.

Toulouse Noir

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Guide de voyage alternatif, Toulouse Noir permet de (re)découvrir la Ville Rose sous la plume de 12 auteurs locaux, chacun livrant une nouvelle noire inédite sur le quartier qu’il a choisi.

Découvrez ainsi :

  • les Carmes/Esquirol vus par Al Baylac
  • Blagnac vu par Maïté Bernard
  • le Jardin des Plantes vu par Tanella Boni
  • le canal du Midi vu par Manu Causse
  • la Roseraie/Argoulets vus par Gaspard Chauvelot
  • Saint-Michel vu par Pascal Dessaint
  • Saint-Étienne/Colombette vu par Francis Émourgeon
  • le Pavillon Mazar vu par Sarah Grall
  • Jolimont/L’Observatoire vu par Adeline Grand-Clément
  • la gare vue par Nicolas Rouillé
  • la place Belfort vue par Hafid Saïdi
  • Saint-Cyprien vu par Benoît Séverac

 

Les Dernières Karankawas

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Destination touristique populaire, Galveston, Texas, attire tous les ans des millions de visiteurs. Pourtant, rares sont ceux qui s’aventurent jusqu’au Fish Village, le quartier abritant ceux qui, depuis des générations, font vivre l’île : marins-pêcheurs, infirmières, employés municipaux, chauffeurs de car…
Carly Castillo n’a connu que le Fish Village. Elle est née d’un père mexicain et d’une mère philippine, bien que sa grand-mère prétende qu’elles descendent des Karankawas, peuple amérindien dont Galveston est le berceau. En grandissant, elle se prend à rêver d’une vie meilleure ailleurs. Son petit ami Jess, lui, connaît le dilemme inverse : star montante du baseball, il pourrait quitter Galveston pour de meilleures opportunités, mais il chérit la baie et son histoire tumultueuse.
Lorsque la nouvelle se répand qu’un ouragan approche de l’île, chaque insulaire doit prendre une décision difficile. Barricader ses fenêtres et attendre… ou fuir vers le continent, en laissant tout derrière lui.