Un été contraire de Pauline Vetter

192 pages

ISBN : 9782365333047

Parution : 22 août 2025

20,00 

Catégorie :

Description

Extrait

« Ça ressemblait à ce que nous espérions de nos vacances. Retrouver le goût éternel d’une ancienne amitié. Des frissons parcouraient mes bras. C’était bref, et c’était une illusion, mais ça me transportait. »

Le résumé

Jolan rejoint ses anciens meilleurs amis à Pittsburgh, aux États-Unis, pour y passer un été. Ces quatre jeunes Français ne se sont pas retrouvés ensemble depuis leur dernière année de lycée, cinq ans auparavant. Mais une tension palpable se fait sentir dès le début de leur séjour. Non-dits et promiscuité assombrissent ce qui aurait dû être de joyeuses retrouvailles. Dans l’appartement où ils résident, au bord de la piscine ou à Downtown, tous cherchent à éviter le sujet qui occupe leur
esprit – le drame qui plane sur leur passé commun. Et ressurgissent les jeux dangereux de leur adolescence, entre défis puérils, amitié ambigüe
et relations de domination.

Un premier roman fiévreux, atmosphérique et sensoriel, où rires et conversations se perdent dans le vide. Où les boissons trop sucrées ne parviennent pas à effacer l’arrière-goût amer d’une amitié déjà terminée.

L’autrice

Pauline Vetter est née en 1997 à Strasbourg et a grandi dans la campagne alsacienne. Elle est diplômée du Master de Création littéraire du Havre et vit aujourd’hui non loin de Bordeaux. Un été contraire est son premier roman.

Playlist du livre


Avis médias et libraires

SÉLECTION PRIX SAMANTHA 2025

« Une exploration saisissante de l’amitié masculine et de ses dynamiques parfois toxiques. Le récit suit Jolan, l’un des quatre anciens amis lycéens qui se retrouvent pour des vacances estivales à Pittsburgh, aux États-Unis. Ce qui devait être une période idyllique se transforme rapidement en un huis clos oppressant, où les tensions et les dynamiques de domination minent l’amitié. » Sélection Rentrée littéraire – Librairie Mollat (Bordeaux)

« En parvenant à ancrer un récit simple mais intrigant dans une atmosphère parfois pesante, Pauline Vetter nous invite subtilement à nous interroger sur le temps qui passe et ses effets sur nos relations amicales. » Livres Hebdo, juillet-août 2025

« Un malaise qui s’installe, très bien rendu par la narration. Un roman d’atmosphère et d’intrigue psychologique prenant. » Les Notes bibliographiques

« Addictif et brillant. » Patrick Coltel – La Droguerie (Saint-Malo)

« Un premier roman parfaitement maîtrisé en termes de récit, crédibilité, ambiance et qualité littéraire. Très bien mené, sa fin fracasse les apparences et révèle le dessous des comportements. Une claque ! » Blandine Lanza – Gibert Joseph Saint-Michel (Paris)

« Pauline Vetter excelle à restituer la densité de l’été : chaleur, odeurs, bruits, tout concourt à plonger le lecteur dans une ambiance presque étouffante. Les descriptions, extrêmement précises et évocatrices, donnent au texte une texture sensorielle remarquable. Cette immersion est l’une des grandes réussites du roman. Tout est millimétré — les silences, les gestes, les répliques — et pourtant rien ne pèse. […] Un été contraire est un roman d’atmosphère d’une justesse poignante, d’une densité trouble. […] C’est fort. Pauline Vetter séduit dès son premier roman. » Benoît Lacoste – Les Feuilles volantes (Dax)

« Un premier roman admirablement construit et très précis dans sa manière de figurer les zones d’ombres entre ses personnages : on y plonge pour n’en ressortir qu’au point final ! » Brice – Les Mots et les Choses (Boulogne)

« Un vrai roman d’atmosphère. On pense à un film de Sofia Coppola avec cette lenteur maîtrisée et cette tension sous-jacente. » Michaël Mathieu – Librairie de Paris (17e)

« J’ai lu et beaucoup aimé le premier roman de Pauline Vetter. La vraie force de ce roman, c’est son ambiance. J’y ai retrouvé un petit quelque chose de Françoise Sagan dans Bonjour Tristesse. » Marie – Librairie Kléber (Strasbourg)

« Avec beaucoup d’habileté, Pauline Vetter construit un (premier) roman d’atmosphère trouble et captivant, qui questionne sur le passage à l’âge adulte et les liens d’amitié prétendument à toute épreuve.. » Nathalie Servain – Les Guetteurs de vent (Paris)

« On est cinq ans après le lycée. Quatre amis se retrouvent le temps d’un été dans un appartement à Pittsburgh aux États-Unis. Beaucoup d’ennui, de lenteur, de désœuvrement. L’autrice distille les indices d’un drame qui s’est joué entre eux au lycée. J’ai beaucoup aimé ce premier roman, fantastique sur les rapports entre les gens. On apprend peu à peu à connaître chacun des quatre personnages. C’est très bien écrit, habilement construit, c’est plein de tensions cachées et de moiteur. Une vraie belle découverte. » Madeline Roth – L’Eau vive (Avignon)

« Le temps d’un été, quand les rêves de jeunesse et d’amitié s’évaporent… Un roman délicat dont la lecture nous enveloppe de sa mélancolie rêveuse et lancinante. » Michaël Corbat – Les Papiers bavards (Audincourt)

« C’est très impressionnant, j’ai adoré l’atmosphère poisseuse et suffocante distillée dès les 1ères lignes et jusqu’à la fin. C’est un livre qui parle aussi très bien de la complexité de certaines amitiés nouées durant l’adolescence et qui perdent leur sens avec le temps. » Antoine Sanslaville – Le Roi lire (Sceaux)

« J’ai beaucoup aimé ce roman à la langueur addictive et à l’atmosphère particulière et très visuelle. » Valentine – Librairie Totem (Schiltigheim)

« Un premier roman intense et addictif. » David Goulois, Cultura, Chambray-lès-Tours

« Avec beaucoup de justesse, Pauline Vetter ausculte à la loupe nos peurs cachées et nos petits arrangements avec la vie. » Nathalie Lesperat, Le Chat perché (Colmar)

« Pauline Vetter nous embarque dans un été étouffant aux États-Unis avec quatre copains de lycée qui ne se sont pas revus depuis longtemps. Les non-dits, les changements de vie, les choix, les personnalités posent la question de rester amis ou non. Quels liens ont-ils noués ? La grande force de l’écriture de l’autrice réside dans les sensations qu’elle amène. Notre peau ressent la moiteur, notre nez les odeurs, notre corps la tension électrique des étés chauds et des conflits larvés entre les personnages. Chaque scène peut basculer dans la comédie ou le tragique, rendant l’atmosphère pesante. Lu d’une traite pour mieux profiter du côté sensoriel de ce texte. Et une nouvelle autrice à suivre. » Hélène Deschères, médiathécaire

« Si comme moi vous aimez la pudeur et l’audace des premiers romans, que vous hésitez encore sur les titres à choisir en cette rentrée littéraire, ne laissez surtout pas filer Un été contraire. Un roman d’ambiance à la Bret Easton Ellis avec une touche cinématographique lynchéenne. […] La narration à la première personne vient accentuer davantage encore l’immersion, lui donnant une forme presque intime, dérangeante mais pas déplaisante. » L’Atelier littéraire

« Une histoire de fin d’amitié dans la langueur des fins d’été, sensible et étonnamment prenante. A découvrir ! » Diane, Encre blanche (Pessac)

« Un bon roman d’atmosphère, avec un côté flottant très intéressant. » Christophe Gilcquin, L’Atelier (Paris)

« Une amitié peut-elle résister à tout ? Que reste-t-il de notre jeunesse et de notre insouciance ? Coup de cœur ! » Céline Marault, L’Expérience (Gonesse)

Informations complémentaires

Poids 252 g
Dimensions 14,5 × 20 cm

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