Description
Le résumé
Rejetée par ses parents après la diffusion d’une vidéo intime, Janalice, quatorze ans, est envoyée chez sa tante dans le centre-ville de Belém. L’adolescente va se familiariser avec la faune interlope de rues : vendeurs à la sauvette, toxicomanes et maquereaux. Mais sa beauté attire rapidement la convoitise et Janalice finit par se faire kidnapper en pleine rue.
Amadeu, un flic à la retraite, s’empare de l’affaire par amitié pour le père de la jeune fille. Sur les traces de Janalice, il entame un périple halluciné en Amazonie, à la frontière entre le Brésil et la Guyane française. C’est là que s’entrecroisent toutes sortes de trafics – orpaillage, piraterie fluviale, prostitution infantile et traite des blanches –, avec la complicité de l’administration locale. Mais arrivera-t-il à temps pour sauver Janalice de l’horreur ?
Après Belém, Moscow et Nid de vipères, Edyr Augusto n’a rien perdu de sa plume nerveuse et sèche. Dans Pssica, il montre Cayenne, capitale d’un territoire français méconnu, sous un jour vertigineux.
L’auteur
Traduit du portugais (Brésil) par : Diniz Galhos.
Playlist
Avis médias et libraires
« Ça se lit très bien, et vous n’avez jamais rien lu de tel. C’est tout simplement magistral. » Bernard Poirette – RTL
« Une fois encore, Augusto impressionne par la brutalité de son écriture et la rage qui émane de ses histoires. Féroce et engagé, Pssica vous laisse groggy. » Encore du Noir
« C’est court, sec et ça secoue. » Actu du Noir
« Dans ce roman d’une noirceur impressionnante, extrêmement marquant, Augusto parvient remarquablement à faire ressentir, dans toute sa brutalité et son injustice, le poids d’un déterminisme implacable sur les êtres. » Un dernier livre avant la fin du monde
« Avec ce roman, Augusto va encore plus loin dans la dénonciation et la dérive de son pays. Il ne met pas de gants, et ne nous épargne rien. C’est un roman fort, un roman coup de poing… » Black Novel
« Une fois de plus, Augusto donne des cauchemars, mais lui n’a pas besoin de serial killer, de menaces terroristes, de bombes, il prend juste des hommes. » A Killer inside me
« Le spectacle est rude, sans concessions, mais ne verse à aucun moment dans le voyeurisme… » Librairie Charybde, Paris
« A l’image d’une fièvre malsaine, qui brouille l’esprit, Pssica ensorcellera le lecteur pour l’emmener dans cet univers de violence qui agit comme une véritable catharsis afin d’offrir une possibilité de rédemption qui se révélera bien aléatoire. » Mon roman ? Noir et bien serré