Description
Le résumé
Le narrateur de Je m’enneige aime sa liberté : il a vingt-cinq ans et aucune envide de s’engager. Son temps, il le passe avec sa bande de copains dans les cafés de leur petite ville ou dans la forêt alentour, en tout cas loin de chez son père, avec lequel il vit toujours. Son frère jumeau a déménagé il y a quelques années, tandis que leur mère, atteinte d’une lourde maladie héréditaire, végète dans une clinique. Mais un jour, elle se met à prononcer un mot en boucle, « Varsovie ». Et si elle essayait de leur faire passer un message ? Les deux frères réunis décident d’embarquer leur mère dans la Volvo familiale, direction la Pologne… ou ailleurs. En fuyant un quotidien entaché par la maladie, ils espèrent redonner le sourire à leur mère.
Roman sur une famille écartelée par les silences, à l’écriture subtile et pudique, Je m’enneige est également le portrait d’une génération aux antipodes de celle de ses parents dans sa façon d’envisager l’âge adulte.
L’auteur
Benoît Sourty est scénariste et réalisateur. Il dirige la pédagogie d’une école de cinéma. Je m’enneige est son troisième roman.
Playlist
Avis médias et libraires
« Un roman délicat, pudique (…) écrit avec une remarquable économie de moyens. » Livres Hebdo
« Un style aussi syncopé que le sont les battements de cœur des trois blessés de la vie. » La Provence
« Un auteur empreint d’une sensibilité rare au service d’une fiction familiale où le silence provoqué par la maladie va tout bousculer. » La Fringale culturelle
« Magnifique histoire sur la fraternité, l’hérédité, la douleur et le silence qui fissure les familles. » Gilles Marchand, auteur
« Ce titre propose à la fois un mystère et un confort pour le lecteur. » « Un livre une voix », Radio Notre-Dame
« Vers où aller quand tout s’enneige ? Un roman poignant, d’une finesse psychologique sans fards sur l’éclatement d’une famille, sur l’amour qui s’accroche, sur l’irrémédiable élan de vivre encore. » Librairie nouvelle (Asnières)
« Un road trip émouvant qui laisse la gorge nouée et une furieuse envie de serrer ceux qu’on aime dans nos bras. » Librairie Page et Plume (Limoges)
« Un roman bouleversant au cœur d’une famille ravagée par le silence et la maladie, un style et un ton juste à la hauteur adéquate qui impliquent le lecteur sans jamais l’étouffer par la situation. » Librairie Vaux Livres (Vaux-le-Pénil)
« Le livre se passe sur 19 jours, certains titres de chapitres sont très beaux, il y a une voiture qui s’en va comme sur la couverture, et
des kilomètres de solitude. » Librairie L’Eau vive (Avignon)
« Un texte subtil, sensible, sans pathos. » Librairie Filigranes (Bruxelles)
« Un roman qui ose. Qui casse les codes. Malgré l’immense fatalité qui frappe tous les personnages, je trouve que c’est un roman de
l’absolu. On y croit avec eux. On veut les protéger et les empêcher de se brûler. » Michaël Mathieu, Librairie de Paris (Paris)
« Une description à la fois très incarnée et complètement universelle de cette jeunesse et de son univers. On retient son souffle de la
1re à la dernière page. En fait on est juste dans la vie. Et le ton est incroyablement juste.« Émilie Dontenville, librairie Mollat (Bordeaux)
« Un ton doux-amer qui sonne très juste. Une belle découverte littéraire. » Stéphanie Fontaine, Furet du Nord (Lille)
« J’ai adoré le propos ultra contemporain sur la fin de vie et le voyage comme une quête et une libération. » Séverine Nicolle, SFL
« Ce livre parle de la famille, de la nostalgie de l’enfance et des souvenirs auxquels on se raccroche et aussi de la déchéance du
corps : comment on vit ça, comment on la gère ? Un livre très fort qui va à l’essentiel et qui remue. » Sandrine Dantard, Fnac Grenoble
« Un court roman, déchirant, diablement touchant ! » Mathieu Lartaud, Decitre (Grenoble)
« L’approche des personnages et le rapport familial et filial sont justes et touchants. » Anne Dubreuil, Richer (Angers)
« Un texte habité à la fois par le silence et la parole, sur la difficulté pour ce jeune homme d’accéder à un âge adulte et à l’histoire
d’amour de ses parents. » Nikola Delescluse, Paludes, Radio Campus Lille
