Description
Le résumé
Écrites entre 1928 et 1933, les Eaux-fortes de Buenos Aires sont autant d’instantanés de la capitale argentine, de ses habitants, de ses coutumes et de son art de vivre : ses jeunes oisifs plantés devant leur seuil, ses chantiers de construction pillés de leurs briques, ses maisons de tôle ondulée aux couleurs passées… Un tableau vivant et mouvant de la ville, une œuvre urbaine et moderne.
L’auteur
Roberto Arlt est une grande figure de la littérature argentine, dont l’œuvre est partiellement traduite en français. Écrivain de la ville mais aussi des marginaux et des délaissés (Les Sept Fous, Les Lance-flammes), Arlt manie à merveille une langue hybride, faite d’espagnol traditionnel et d’argot de Buenos Aires. Il est décédé en 1942.
La traductrice
Antonia Garcia Castro est née à Santiago du Chili. Arrivée en France en 1982, elle y vit pendant huit ans avant de repartir, revenir, repartir. Elle est l’autrice de deux ouvrages, l’un sur les disparitions forcées au Chili, l’autre sur l’itinéraire du Cuarteto Cedrón, groupe de musiciens argentins ayant vécu en France pendant trente ans. Depuis 2004, elle réside en Argentine d’où, il semblerait, elle ne veuille plus repartir.
Playlist
Avis médias et libraires
« Arlt a dit du Buenos Aires des années 1930 tout ce que les autres intellectuels de son temps dissimulaient. » Julio Cortázar
« Les Eaux-fortes de Buenos Aires sont tenues par ce singulier alliage : souci de l’observation et acidité généreuse du verbe. Une vraie leçon de journalisme. » Le Magazine littéraire